"Ik probeerde de Japanse theorie van Mottainai om planken te organiseren en dit is waarom het werkt"

J'ai essayé la théorie japonaise de Mottainai pour organiser des étagères et voici pourquoi cela fonctionne.

Dernièrement, je me suis retrouvée attirée par la beauté délicate de la saison des cerisiers en fleurs au Japon. Peut-être est-ce la nature éphémère des fleurs, ou la manière dont elles rendent les environnements quotidiens magiques. Quoi qu'il en soit, cela m'a fait réfléchir à la façon dont les Japonais embrassent la simplicité—non seulement dans la nature, mais aussi dans leurs maisons.

Naturellement, cela m’a menée à une exploration des méthodes d'organisation japonaises, et j'ai découvert un concept qui a changé ma façon de voir le désencombrement : le Mottainai.

Découvrir la méthode Mottainai

Mottainai (もったいない) est un terme japonais qui se traduit par « quel gâchis ». Mais ce n'est pas seulement une question d'éviter le gaspillage—il s'agit d'apprécier ce que nous avons déjà et de l'utiliser pleinement avant de nous en séparer. Contrairement aux méthodes de désencombrement classiques, qui se concentrent souvent sur l'élimination rapide des objets, le Mottainai nous encourage à faire une pause et à nous poser la question : Ai-je vraiment honoré le but de cet objet ?

J'ai toujours suivi la règle classique des « un an »—si je n'avais pas utilisé quelque chose pendant un an, je m'en débarrassais. Mais le Mottainai m'a fait regarder mes possessions différemment. Au lieu de me concentrer sur la question de savoir si j'avais utilisé quelque chose récemment, j'ai commencé à me demander si je lui avais donné toute sa valeur.

Par exemple, j'avais une vieille nappe en lin cachée dans un tiroir. Selon mes critères habituels, je devais la donner. Mais avec la mentalité Mottainai, je l'ai vue différemment—c'était un cadeau d'un ami, et au lieu de m'en débarrasser, je l'ai transformée en serviettes en tissu et en un petit sac pour ranger le pain. Cela m'a fait du bien de savoir que j'avais prolongé sa vie au lieu de la traiter comme un déchet.

Ce que nous pouvons apprendre des experts japonais en organisation

Les techniques d'organisation japonaises ne consistent pas seulement à ranger ; elles visent à créer un espace qui soutient la clarté mentale et un sentiment d'équilibre. Certains des organisateurs de maisons japonais les plus connus ont acquis une reconnaissance mondiale pour leurs approches uniques :

Marie Kondo—Tout le monde la connaît grâce à sa célèbre méthode KonMari, où l'on ne garde que les objets qui « suscitent de la joie ». Mais ce que j'apprécie le plus chez Marie, ce n'est pas seulement sa méthode—c'est sa présence. Elle dégage une pure tranquillité, toujours souriante, toujours parfaitement composée. Et soyons honnêtes, une partie de son charme est qu'elle ne parle jamais anglais dans les interviews, bien qu'elle le comprenne. Il y a quelque chose de tellement authentique à cela !

Hideko Yamashita—La créatrice de la méthode Danshari, qui se concentre sur le lâcher-prise de l'excès matériel en se détachant des connexions émotionnelles malsaines. Sa philosophie est avant tout de se libérer, pas seulement de son espace. C'est la mentor minimaliste sans fioritures dont nous avons tous besoin.

Le Mottainai va encore plus loin que ces idées—ce n'est pas seulement une question de se débarrasser des choses, mais de les apprécier avant de décider de leur prochaine destination. C'est un désencombrement avec gratitude plutôt qu'avec précipitation.

Pourquoi le Mottainai a mieux fonctionné pour moi

Le minimalisme, dans son sens traditionnel, m'a toujours semblé un peu rigide. J'aimais l'idée d'un espace bien rangé, mais j'avais du mal avec la pression de réduire tout à un minimum extrême. Le Mottainai, en revanche, m'a paru plus naturel. Il ne me rendait pas coupable de garder des objets, mais m'encourageait à être consciente de la manière dont je les utilisais.

Je remarque que ma maison se sent plus légère—non pas parce que je possède moins de choses, mais parce que j'ai une meilleure relation avec ce que je possède. Je ne me précipite pas pour jeter des objets ; je prends le temps de voir s'ils peuvent servir à une nouvelle fin. Et lorsque je décide de me séparer de quelque chose, je le fais avec appréciation plutôt qu'avec regret.

Une approche plus réfléchie du désencombrement

Le Mottainai m'a appris que l'organisation ne consiste pas seulement à ce que nous jetons—il s'agit de la manière dont nous valorisons ce que nous choisissons de garder. Plutôt que de jeter à la hâte, il nous encourage à

- Reconnaître le parcours d'un objet avant de le laisser partir.

- Trouver des moyens de réutiliser ou de recycler un objet avant de le remplacer.

- Faire des choix intentionnels quant à ce que nous apportons dans nos maisons.

Avez-vous déjà essayé la méthode Mottainai ?

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